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25 octobre 2012 4 25 /10 /octobre /2012 20:49

Jean-Jacques CANDELIER, député PC/Front de Gauche écrit à Mme Marisol TOURAINE, ministre des affaires sociales et de la santé    

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19 octobre 2012 5 19 /10 /octobre /2012 21:31

Deux salariés tentent de se suicier au bureau

 

Les personnels de la sécurité Sociale minière, régime en voie de disparition, sont sous pression.


Deux tentatives de suicide tendent à en témoigner 


Deux salariés de la Sécurité sociale minière ont tenté de mettre fin à leurs jours sur leur lieu de travail. La première tentative de suicide a eu lieu le 18 juillet dernier, à Grenay, dans les locaux de la Carmi (caisse régionale) du Nord. Une femme, agent administratif, a été secourue par des collègues.

Le deuxième geste désespéré s’est déroulé vendredi dernier à la Carmi-Est, à Mulhouse. Un ouvrier d’entretien s’est lacéré les bras avant de sortir du bâtiment et de s’écrouler dans la rue. Il a laissé un mot stipulant que c’est bien le stress au travail qu’il l’a conduit à cette extrémité.

ière tentative de suicide a eu lieu le 18 juillet dernier, à Grenay, dans les locaux de la Carmi (caisse régionale) du Nord. Une femme, agent administratif, a été sec

Craintes de contagion 

Lundi, une réunion exceptionnelle du CHSCT (Comité d’hygiène, sécurité et condition de travail) était convoquée à Mulhouse.

Michel Bonin, directeur général de la Caisse nationale de la Sécurité sociale minière (CAN SSM), y assistait, en compagnie du directeur de la Carmi-Est Jean-Michel Chassany. Ces hauts cadres du régime se sont rendus au chevet de l’ouvrier hospitalisé ce mardi. Depuis, les réunions se multiplient, en interne, pour informer des faits. Hier, les organisations syndicales étaient réunies à Metz, siège de la Carmi-Est, afin d’évoquer la grave situation.

Jean-Michel Chassany indique qu’une enquête conjointe CHSCT/direction permettra de comprendre les événements. « Nous témoignons de notre compassion aux intéressés, dit-il. La conduite du changement dans l’entreprise suscite du stress. Nous le savons. Nous avions déjà mis en place, depuis six mois, un numéro vert afin de gérer la souffrance au travail, avec le concours d’une société spécialisée. Mais nous ne nous attendions pas à des gestes de cette gravité.

Nous allons accentuer la prévention et la détection des risques psychosociaux. ».

Stéphane MAZZUCOTELLI.

Journal "Le Républicain Lorrain"


 

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8 octobre 2012 1 08 /10 /octobre /2012 21:20

 

Débat énergie : le PCF apporte son eau au moulin

 

 

Le débat sur la transition énergétique n’est pas encore lancé que le Parti communiste apporte son eau au moulin. Une plaquette de 28 pages nées d’une série de rencontres qui, en 2011, avaient rassemblé syndicats, élus, militants et scientifiques. Déjà auteur des 
« 10 principes pour une transition énergétique réussie », et alors que le Front de gauche revendique un grand débat public sur la politique énergétique française, 
le PCF entend avancer sa contribution, adressée 
à tous ceux que la discussion intéresse (1).

On y retrouve un bilan détaillé des enjeux, en tête desquels le développement humain durable et la lutte contre les bouleversements climatiques. « 80 % de la population mondiale consomment 20 % de l’énergie totale ; 2 milliards d’humains n’ont pas accès à l’énergie ; en France, on compte aujourd’hui 3,7 millions de foyers précaires énergétiques, soit près de 8 millions de personnes », rappelle le document. Or, et ce n’est pas un scoop, l’énergie est vitale, poursuit-il. « Elle doit être soustraite des griffes des marchés » pour devenir « bien commun de l’humanité ». Alors que le pétrole s’épuise et que l’air se réchauffe, il y a urgence à mettre en œuvre une énergie plus propre et mieux partagée. Pour y parvenir, le PCF défend le mixte énergétique public. Public, parce les questions sont trop cruciales pour échapper au contrôle citoyen. Et mixte, parce que, même en visant une consommation plus économe, la collaboration des énergies – renouvelables et nucléaires – reste à ce jour l’unique façon de répondre à l’ensemble des besoins. 
La plaquette ne se contente pas d’avancer l’idée. 
Elle argumente avec les chiffres, avance des données scientifiques, propose une pléthore de graphiques. 
On peut y lire, aussi, des propositions de financement, comme celle de piocher dans le budget militaire pour financer le Fonds vert mondial.M.-N. B.

 

(1) Version en ligne gratuite (http : www.energie.pcf.fr), version papier : 2 euros, à commander auprès de jyoudom@pcf.fr.

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27 septembre 2012 4 27 /09 /septembre /2012 22:04

 

Les sénateurs communistes se sont abstenus, sur les emplois d'avenir devant le refus du gouvernement et de la gauche socialiste de retenir des amendements de nature à faire de ces emplois " un tremplin d'avenir" pour les jeunes, comme le précisait la sénatrice Isabelle Pasquet.

Refusés, les amendements :

- pour que leur formation se déroule sur le temps de travail,

- celui pour instaurer un bonus-malus des aides en fonction de la qualité des emplois (CDI ou CDD, temps plein ou temps partiel...),

- celui pour que leur soient accordés les mêmes avantages et droits que les autres salariés,

- celui enfin pour que les meilleures conditions soient créées pour la pérennisation de leurs emplois.

Seul a été accepté celui qui leur donne la priorité en cas de création d'emploi.

Insuffisant, ont jugé les sénateurs communistes.

"Journal l'Humanité du 27 septembre 2012"

 

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27 septembre 2012 4 27 /09 /septembre /2012 21:25
Deux amendements du Front de Gauche ont été votés à l'Assemblée nationale, lors du débat sur la loi consacré au logement :
- 2,3 millions de logements restent vacants en France alors que ce secteur est en pleine crise. André Chassaigne a présenté un amendement qui réduit à 12 mois (contre 18 actuellement) le délai au terme duquel un logement appartenant à une personne morale est déclaré vacant et peut donc être réquisitionné.
- le Front de Gauche est également parvenu à supprimer la possibilité offerte aux propriétaires de se soustraire à une réquisition en présentant un devis de travaux d'aménagement.
D'autre part :

Les députés ont voté un amendement du groupe EELV imposant un taux de 10% de logements sociaux aux communes ayant entre 1500 et 3500 habitants .

Les élus communistes ont par ailleurs obtenu un rapport parlementaire sur la réglementation des prix du foncier.

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20 septembre 2012 4 20 /09 /septembre /2012 21:26

 

Déclaration du PCF
Paris, le 20 septembre 2012

 

Fermeture de Fessenheim, une décision politicienne !


Lors de la conférence environnementale qui s’est tenue les 14 et 15 septembre, François Hollande a confirmé la fermeture de Fessenheim pour 2016. Rien de nouveau puisque cet engagement faisait partie de l'accord électoral bien mal ficelé entre EELV et le PS. Nous avions dénoncé, à l’époque, ces tractations de couloir.

La seule raison invoquée par le chef de l'Etat pour l’arrêt de Fessenheim est qu'elle est «la plus vieille centrale du parc». Cet argument ne tient pas. Nous disposons d’une autorité de sûreté indépendante qui, suite au terrible accident de Fukushima, a réexaminé la sûreté de toutes les centrales françaises. Elle a autorisé la poursuite du fonctionnement de Fessenheim moyennant des modifications de l’installation qui sont en cours de réalisation. Aucune justification technique ne s’oppose à la poursuite de son fonctionnement.

La question est ailleurs. Face aux défis environnementaux et sociétaux, un débat approfondi doit avoir lieu pour que nous puissions établir collectivement les bases de notre avenir et inventer le monde de l'énergie de demain. Les Français ne peuvent pas être mis de côté dans les prises de décisions sur les enjeux énergétiques. Tout doit être mis sur la table en toute transparence (technique et sécurité, possibilités d’amélioration, avis de l’ASN, coûts, conséquences financières, sociales et humaines, perspectives régionales, etc...).

Ce débat, éminemment stratégique, est celui de tout le pays. Il doit être mené dans la sérénité et ne peut être réduit à une seule de ses facettes, le nucléaire, ou confisqué à des fins politiciennes. C'est le véritable enjeu du débat public que continue de souhaiter le PCF.

Dans ce débat, les salariés ont plus que leur mot à dire. Le président de la République décide sans consultation de fermer une usine de 600 salariés statutaires, autant d’emplois intérimaires et prestataires. Plus encore, si l’on prend en compte tous les emplois induits dans le tissu économique, social des alentours de la centrale.

Cette décision est précipitée, mal motivée, et ne s'inscrit pas pour l'heure dans l'ambition de transition énergétique nécessaire. Cette dernière ne peut conduire à un renchérissement de l’électricité en France. On comprend dans ces conditions la logique de la proposition de F. Brottes d’inventer un tarif progressif axé essentiellement sur le rationnement de la consommation par le signal prix. Une autre voie est nécessaire et possible.

 

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19 septembre 2012 3 19 /09 /septembre /2012 23:41

 

        Les élus du Comité Central d’Entreprise d’EDF SA s’opposent à la fermeture de la Centrale de Fessenheim telle qu’annoncée


Communiqué de presse du 17 septembre 2012


Le président de la République a annoncé en préalable à la Conférence Environnementale du 14 septembre 2012, la fermeture de la Centrale de Fessenheim pour fin 2016. Il a rappelé son objectif de réduire la part du nucléaire dans l’électricité produite de 75% actuellement à 50% à l’horizon 2025.

Les élus du Comité Central d’Entreprise d’EDF SA s’opposent à la fermeture du site telle qu’annoncée et demandent la communication de l’étude d’impacts préalable technique, socio-économique notamment sur l’emploi direct et indirect qui a conduit à cette décision.

Conscients de l’inquiétude des agents, des prestataires du site et de leurs familles, ils expriment leur solidarité tout en considérant que cette décision de fermeture n’est pas inéluctable.

Les élus du CCE EDF SA considèrent qu’il est de leur devoir de participer au débat sur l’interrogation de la place du nucléaire civil dans l’ensemble de la production de l’électricité.

Les élus du CCE EDF SA pensent que toutes réflexions sur les enjeux énergétiques doivent avoir pour objectif de satisfaire les besoins vitaux des habitants de la France, au niveau individuel comme collectif. L’accès à l’énergie constituant un enjeu géopolitique majeur, il est primordial que notre pays contribue à la solution des tensions mondiales par une politique énergétique économisant les ressources fossiles. L’énergie est également un élément essentiel du développement industriel et de l’aménagement du territoire.

C’est pourquoi les élus du CCE EDF SA ont fait appel à deux cabinets d’experts. L’Institut Energie et Développement a réalisé une étude portant sur « les conséquences d’une sortie éventuelle du nucléaire » et Syndex a étudié l’impact socio-économique d’une fermeture potentielle de la centrale de Fessenheim.

Les élus du CCE d’EDF SA vont vulgariser ces expertises pour qu’il y ait une prise de conscience collective des conséquences de cette décision.

C’est aussi dans cet esprit que les élus du CCE EDF SA ont demandé au réalisateur René Baratta, de faire un film* « Energie : quels choix pour demain ? » de manière à alimenter les connaissances pour un véritable débat public et permettre ainsi à chacun de se faire une opinion et de choisir en connaissance de cause.

Les élus du personnel du CCE EDF SA sont persuadés que les choix à faire passent par l’information et l’implication du plus grand nombre de citoyens. Pour cela, ils proposent de porter ces éléments de savoirs lors d’un débat public et citoyen, le mardi 11 décembre 2012 à la Défense, pour informer, éclairer et débattre de la question des choix énergétiques d’avenir.

Contacts presse : Marie-Christine Nadeau 01.82.24.85.25 -Pascale Dufossé : 01.82.24.85.20

* Le film sera en ligne sur le site du CCE EDF SA : www.cceedfsa.fr à partir du 24 septembre 2012. Les 2 expertises sont disponibles auprès du secrétariat du CCE EDF SA : cce-edf-sa@edf.fr

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11 août 2012 6 11 /08 /août /2012 18:00
La règle d'or validée par le conseil constitutionnel

 

 

Les juges constitutionnels ont finalement décidé que le traité "Merkel-Sarkozy, qui prône l'austérité et le contrôle budgétaire pour les pays de la zone euro, ne comportait pas de clauses contraires à la constitution.

Le conseil constitutionnel, dans une décision rendue ce jeudi, n'a pas jugé contraire à la constitution la "règle d'or" imposé par le traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance de l'UE (TSCG) signé le 30 janvier par 25 des 27 Européens (ni Grande-Bretagne ni République tchèque). François Hollande échappera donc à une procédure de révision constitutionnelle qui l'aurait obligé à réunir une majorité de trois cinquième au Congrès.  Le gouvernement de Jean Marc Ayrault  va  donc pouvoir, par une simple loi organique, intégrer le traité négocié entre Merkel et Sarkozy, réajusté d'un volet croissance qui limitera les déficits structurels de l'Etat  0.5% du PIB et ouvrira la possibilité d'un mécanisme d'amendes quasi-automatiques en cas de dépassement.

Le Président de la république a demandé instamment à son gouvernement qu'il prépare la ratification du traité européen. Jean-Marc Ayrault a annoncé engager "immédiatement la préparation du projet de loi autorisant la ratification du traité et du projet de loi organique qui seront présentés au Parlement" qui pourraient être votés fin septembre.

Sous la présidence de Jean Louis Debré, les juges constitutionnels ont donc traité et donné leur aval à la fois au traité européen et à la Loi Rectificative des Finances (LFR) avant de partir en vacances. Nicolas Sarkozy, membre du Conseil Constitutionnel en sa qualité d'ancien Président, ne siégeait pas durant les délibérations, ne pouvant être juge et partie à la fois.

"Il faut que le peuple se prononce"

La question divise à gauche. Et les raisons du refus du traité européen diverges. Pour le secrétaire national du Parti de Gauche, Eric Coquerel qui s'exprimait jeudi sur l'antenne RMC-BFMTV "Ce traité n'est pas mineur, il remet en question la souveraineté du parlement national sur le budget, ce qui n'est pas mince". Toujours selon lui,  l'intégration du traité européen nécessite "que le peuple se prononce et c'est pour ça que nous on est pour un référendum" Lire à ce sujet : Pour la démocratie, un référendum sur le nouveau traité 
par Patrick Le Hyaric.

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14 juillet 2012 6 14 /07 /juillet /2012 19:42

 

Plan de transport TER Alsace été 2012

 

Le plan de transport du TER va être considérablement modifié dans la période du 16 juillet au 17 août 2012.

En effet, les usagers du TER Alsace découvrent avec stupéfaction que près de 30% des trains TER seront supprimés, ou remplacés par des bus pendant la période estivale. Selon la direction de la SNCF, le conseil régional justifie ce choix par des mesures d’économies budgétaires.

Ceux qui ne seront pas en vacances à cette période sont voués à la galère, au système D.

Il est prévisible pour eux, au mieux un autobus au confort nettement inférieur au train, ne desservant pas toutes les gares, sans commodités, plus lent, sans accès vélo, … Si d’aventure les trains qui restent leur permettent d’arriver au travail, il y a fort à parier qu’ils trouveront des trains bondés, car il ne faut pas rêver, le matériel ne sera pas renforcé. Ils seront quittes de rallonger pour beaucoup leur amplitude journalière de travail. Au pire, et c’est ce qui risque d’arriver pour beaucoup, ils n’auront d’autre choix que de prendre leurs véhicules personnels.

Le TER devient un business comme un autre et la notion de service public s’éloigne. Une telle réduction du plan de transport démontre que le seul bout de lorgnette qui est regardé est celui de l’économie de transport ferroviaire, avec comme seule alternative les transports routiers. Les engagements du grenelle de l’environnement passent une nouvelle fois après les intérêts économiques. Le GCO abandonné, reste la question du désengorgement de l’A35, qu’à cela ne tienne, on va mettre encore plus de bus et de voitures sur les routes, comme on le fait avec le transport de marchandises.

L’image de la SNCF va en souffrir, mais autant habituer les usagers (qui deviennent dans ce cas des clients) aux choix libéraux concernant leurs transports. Quand la concurrence sera là, il faudra bien rentabiliser l’affaire. Des trains qu’à moitié remplis, c’est inconcevable pour les appétits financiers qui veulent des trains remplis sinon c’est des bus.

Le service public ne mérite pas ça, la CGT persiste à le défendre !

Nombre de trains supprimés par ligne :

  • Colmar - Metzeral : 9 trains supprimés sur 20 soit 45%
  • Mulhouse – Belfort : 9 trains supprimés sur 20 soit 45%

  • Mulhouse – Bâle : 8 trains supprimés sur 22 soit 23%

  • Mulhouse – Colmar : 6 trains supprimés sur 19 soit 32%

  • Mulhouse – Thann – Kruth : 7 trains supprimés sur 22 soit 30%

  • Strasbourg – Molsheim : 24 trains supprimés sur 72 soit 33%

  • Strasbourg – Wissembourg : 7 trains supprimés sur 36 soit19%

  • Strasbourg – Lauterbourg : 6 trains supprimés sur 16 soit 38%

  • Strasbourg – Sélestat (via Molsheim) : 11 trains supprimés sur 31 soit 35%

  • Strasbourg – Sélestat (via Erstein) : 9 trains supprimés sur 28 soit 32%

  • Strasbourg – Saint Dié : 5 trains supprimés sur 23 soit 22%

  • Strasbourg Sarreguemines : 8 trains supprimés sur 17 soit 47%

  • Strasbourg – Sarrebourg : 5 trains supprimés sur 39 soit 13%

 

Afin d’éviter que l’expérience de l’été 2012 ne devienne la règle dans le futur, réagissez !

 

Vos réclamations sont à adresser au Conseil Régional Alsace :

Maison de la Région

1 place Adrien Zeller

BP 91006

67070 STRASBOURG CEDEX.

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27 juin 2012 3 27 /06 /juin /2012 21:39


Selon la Caisse nationale d'assurance vieillesse, le retour de la retraite à 60 ans pour les personnes ayant commencé à travailler avant 20 ans va rapporter au régime général de la Cnav plus d'argent qu'il ne coûte.


La hausse des cotisations prévue pour le financer (0.25 point pour les salariés et pour les employeurs) va faire rentrer dans les caisses 1.050 milliard d'€ en 2013, alors que la mesure coûtera pour la même année 448 millions, soit un bénéfice de 600 millions d'€, précise la Cnav.


Et si l'on en profitait pour élargir le nombre de salariés bénéficiaires ?

 


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