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23 août 2013 5 23 /08 /août /2013 21:53

« L'austérité n'est pas une solution, ne nous racontez pas de salades !»

 

Cette action solidaire, syndicale et politique a donc permis de souligner un certain nombre de problèmes qui ont été exposés à l'occasion d'interviews et de prises de paroles publiques durant la matinée par le porte-parole du PCF, Olivier Dartigolles, le responsable de la commission agriculture du parti, Xavier Compain et le secrétaire général du MODEF, Raymond Girardi.

Tous trois désignaient, alors que le pouvoir d'achat des français est en berne, le problème du prix abusif à la consommation. Une démarche pédagogique qui -suscitant la curiosité des journalistes- fut amoindrie par les rédactions à mesure que la journée avançait. Nos représentants ont notamment souligné le fait que l'agriculture devait continuer à jouer un rôle moteur pour assurer la souveraineté de la sécurité alimentaire, et que ce faisant l'alimentation devait répondre avant tout aux besoins humains et non à ceux des spéculateurs. Ils exposaient la nécessité à ce jour de proposer des alternatives qui permettraient à chacun de vivre décemment de son salaire, en rappelant alors l'urgence pour l'économie d'établir un SMIC à 1 700 €, une mesure qui permettrait d'augmenter le pouvoir d'achat et conséquemment d'asseoir une consommation saine et stable. Enfin, ils invitaient le gouvernement à assurer une plus juste rémunération des paysans et des salariés agricoles, conditions nécessaires au bon développement de l'emploi agricole. C'est aussi que des solutions existent pour qui sait les voir.

Pour Xavier Compain « les communistes proposent une alimentation saine, de qualité, relocalisée et accessible à tous ». Le MODEF et le PCF, pour soutenir ces engagements, ont notamment défendu l'idée d'un encadrement des marges de la grande distribution et ce par l'application de l'article L-611-4-2 du Code Rural, qui propose la mise en place d'un coefficient multiplicateur entre le prix d'achat et le prix de vente des produits agricoles. Une réforme efficace et efficiente du système agricole français, telle que la propose le PCF, suppose aussi l'adoption d'un certain nombre de propositions, telles que la taxation des importations abusives qui écrasent les productions locales, la planification de la production, la régulation les marchés (par exemple en définissant des calendriers d'importations), la préservation du foncier, et le soutien des exploitations et des filières les plus fragiles.

Enfin, le PCF se prononce pour obliger les distributeurs à indiquer l'origine des produits agricoles mais aussi à définir de nouvelles normes à l'importation (qui étaient jusqu'à lors moins contraignantes que celles imposées à l'exploitation française). C'est en poussant un caddy rempli de fruits et légumes qu'Olivier Dartigolles et Xavier Compain se sont rendus à Matignon et cela afin d'engager le gouvernement « blafard » à « vitaminer sa politique ». Xavier Compain tenait en effet à « distribuer des tomates bien rouges à Jean-Marc Ayrault » pour qu'il « retrouve les couleurs de la gauche ».

A l'issue de l'entretien avec Emmanuel Grégoire, chef adjoint du cabinet du Premier Ministre, Olivier Dartigolles déclare que si, d'une part le « panier de fruit » serait effectivement remis en main propre à m. Ayrault, son délégué aux relations avec les formations politiques s'est engagé à retransmettre mot pour mot les propositions apporté par le PCF. Espérons qu'il soit entendu et que notre initiative ne compte pas pour des prunes et que les actes suivent.

Le juste prix !Le juste prix !Le juste prix !
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5 avril 2013 5 05 /04 /avril /2013 14:24

 

Signez la pétition

 

Monsieur le président,

L'affaire Cahuzac révèle brutalement à tous les citoyens la négligence et même la complaisance de nos dirigeants vis-à-vis de l'évasion fiscale.

Pourquoi l'administration fiscale a-t-elle perdu 25 000 agents depuis 2002 ? Pourquoi le nombre de vérifications approfondies de situations personnelles a-t-il chuté de 12% entre 2006 et 2011 ? Pourquoi laisse-t-on chaque année 60 à 80 milliards d'euros échapper à l'impôt, tout en prétextant les déficits publics ainsi creusés pour sacrifier les retraites, les allocations sociales, les emplois publics, les investissements écologiques d'avenir ?

Votre gouvernement peut prendre sans tarder cinq mesures clés pour en finir avec la complaisance : 

1.    embauchez sous 12 mois au moins 1 000 agents de contrôle fiscal pour renforcer les 5 000 vérificateurs actuellement en poste. Chacune des nouvelles recrues rapportera à l'État au moins 2,3 millions d'euros par an grâce aux redressements fiscaux opérés, soit 40 fois le montant de son traitement !

2.    exigez des banques la communication de l'identité de tous les ressortissants français détenteurs de comptes à l’étranger. La loi FATCA oblige depuis début 2013 tous les groupes bancaires opérant aux Etats Unis à communiquer sur demande du fisc américain les données concernant ses ressortissants: il suffit d'une volonté politique !

3.    établissez, en lien avec les associations spécialisées, une liste crédible des paradis fiscaux, ces trous noirs de la finance occulte et de la corruption   

4.    donnez 12 mois aux banques opérant en France pour fermer leurs filiales dans ces territoires, sous menace de retrait de la licence bancaire. Les banques françaises ont 527 filiales dans les paradis fiscaux dont 360 pour la seule BNP Paribas !

5.    imposez le "reporting par pays" aux multinationales établies en France : cette transparence sur le chiffre d'affaires, les bénéfices et les impôts payés dans chaque pays permettra au fisc de déjouer les manipulations des prix de transfert entre filiales des multinationales et de pouvoir enfin imposer Total ou Google sur leurs bénéfices.

Le changement, c'est maintenant ou jamais !

 


Attac France, le 5 avril 2013

- Tribune de Dominique Plihon (porte-parole d'Attac) et Vincent Drezet (secrétaire général de Solidaires finances publiques) : http://www.lemonde.fr/idees/article/2013/04/04/apres-l-affaire-cahuzac-agir-enfin-contre-l-evasion-fiscale_3154205_3232.html

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9 janvier 2013 3 09 /01 /janvier /2013 20:08

      

FEDERATION DES TRAVAILLEURS DES INDUSTRIES DU LIVRE DU PAPIER ET DE LA COMMUNICATION

 

Lettre ouverte aux élus de la région Alsace, députés, sénateurs, conseillers régionaux et généraux, maires, conseillers municipaux ; aux partis politiques ; aux membres du CESA

Presse en Alsace : la FILPAC-CGT s’engage pour l’avenir

Madame, Monsieur,

Depuis le mois d’octobre 2011, le Crédit Mutuel, actionnaire historique du journal L’Alsace-Le Pays, a pris le contrôle des DNA, notre confrère strasbourgeois. Au-delà de ces deux titres, le Crédit Mutuel est aujourd’hui le 1er éditeur de presse quotidienne régionale. En effet, il contrôle également L’Est-Républicain, Le Républicain-Lorrain, Vosges-Matin en Lorraine, le Bien-Public et le JSL en Bourgogne, Le Progrès ainsi que le Dauphiné-Libéré en Rhône-Alpes.

Pour la FILPAC-CGT, le fait de pouvoir compter sur un actionnaire de cette dimension devrait être un gage de solidité et de confiance en l’avenir. Pourtant, nous devons faire le constat qu’il n’en est rien. La presse quotidienne traverse une des crises les plus graves de son histoire, la multiplication des plans de licenciements et les défaillances d’entreprises du secteur en témoignent. Les défis qui sont à relever ne trouvent, à l’évidence, pas les réponses appropriées. De fait, la gestion de nos entreprises privilégie délibérément la recherche de baisse des coûts, par la pression sur l’emploi et le non remplacement des partants. Le développement des synergies, de mutualisations des moyens, tant éditoriaux, industriels, informatiques, commerciaux qu’administratifs, en est le corollaire.

Ces évolutions conduisent à une uniformisation des contenus de nos journaux, ce qui porte préjudice à la notoriété et à la diversité de l’information, contraire à la vitalité du débat démocratique et à la citoyenneté. Au bout de cette logique, la stratégie du Crédit Mutuel est clairement énoncée : selon M. Lucas, PDG de la banque à qui parler, « d’ici quelques années, il ne restera plus qu’un seul titre en Alsace ». Avec toutes les conséquences sur nos emplois et nos statuts.

Les décennies passées ont démontré l’importance d’une concurrence saine et loyale pour la diffusion d’une information de qualité en Alsace. Il s’agit d’un facteur essentiel, garantissant un très fort taux de lecture à nos deux journaux. Par ses choix, le Crédit Mutuel remet en cause cet aspect fondamental du rôle de la presse en Alsace.

Construire un avenir durable à la presse en Alsace passe par une réelle politique de développement, intégrant les nouvelles formes d’élaboration et de diffusion d’une information diversifiée, au service de nos lecteurs et annonceurs. Elle passe par une politique d’investissement soutenu, au service de nos emplois et des qualifications.

A partir de janvier 2013, dans une démarche coordonnée des syndicats FILPAC-CGT des DNA et de L’Alsace-Le Pays, nous lançons la campagne pour « l’avenir de la presse en Alsace ». C’est pourquoi nous nous adressons à vous, et sollicitons votre soutien à la cause que nous défendons. Vous avez la possibilité, si vous le souhaitez, de signer et faire signer la pétition en ligne disponible sur le site livre-com-alsace.com Nous vous informons également de l’organisation d’un MEETING NATIONAL, le vendredi 25 janvier 2013, à 14 h, au siège des DNA, à Strasbourg. Vous êtes cordialement invités à y participer.

Espérant pouvoir compter sur votre soutien dans la campagne que nous engageons, recevez, Madame, Monsieur, nos salutations fraternelles.

Strasbourg, le 28 décembre 2012FEDERATION DES TRAVAILLEURS

Vous pourrez signer la pétition sur :

http://www.livre-com-alsace.com/

 

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25 septembre 2012 2 25 /09 /septembre /2012 16:58

A partir de Colmar et Mulhouse, déplacement en bus :

Départ de Colmar :    6h 00 (Place de la Gare)

Départ de Mulhouse : 6h 00 (Salle des Sports, rue de l'Illberg)

Arrivée à Paris : 13h 15    

Retour, départ de Paris : 18h 00

                                     Retour Mulhouse : 0h 15

                                     Retour Colmar    : 1h 00

Réservation : Aline Parmentier : 06.85.05.17.13

                              Nadia Peter          : 03.89.51.04.36

 

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25 septembre 2012 2 25 /09 /septembre /2012 16:15

 

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10 septembre 2012 1 10 /09 /septembre /2012 21:29

Non à l’austérité permanente !


Refusons le Pacte budgétaire, ouvrons le débat en Europe !

Le président de la République veut faire ratifier au plus vite par

le Parlement le Traité pour la stabilité, la coordination et la

gouvernance (TSCG) de la zone euro, plus connu sous l’intitulé

de « Pacte budgétaire », tel qu’il a été signé par Nicolas

Sarkozy le 25 mars dernier. Pourtant, les faibles mesures « de

croissance » annoncées le 29 mai dernier ne constituent en

rien la « renégociation » promise par le candidat François

Hollande d’un traité qui « ajoute l’austérité à l’austérité ».

Ce Pacte budgétaire aggrave les politiques néolibérales

prônées depuis des années et qui ont mené aux problèmes

actuels de la zone euro. Il représente d’abord une absurdité

économique. En imposant que le « déficit structurel » d’un État

soit inférieur à 0,5 %, il va obliger à des coupes drastiques dans

les dépenses publiques. Il va priver la puissance publique de

moyens indispensables pour mener des politiques permettant

d’engager la transition sociale et écologique. Or nous avons

besoin au contraire de développer et de rénover les services

publics et la protection sociale pour répondre aux nombreux

besoins non satisfaits, réduire les inégalités sociales et réaliser

l’égalité entre les femmes et les hommes. Nous avons besoin

d’investissements publics considérables pour financer la

transition énergétique, réduire les pollutions, assurer la

reconversion écologique des modes de production et de

consommation, créer des millions d’emplois. L’obligation

d’équilibre budgétaire permanent sera un frein majeur pour

s’attaquer à la crise sociale et écologique.

Dans une Europe où les clients des uns sont les fournisseurs

des autres, cette orientation engagée depuis deux ans amène

aujourd’hui la récession généralisée. Les difficultés de PSA et

d’autres entreprises découlent directement de l’effondrement

de la demande en Europe du Sud. Aujourd’hui le pouvoir

d’achat stagne ou régresse, les entreprises et les collectivités

locales réduisent leurs investissements : dans ce contexte

couper dans les dépenses publiques ne fera qu’aggraver le

chômage. Dès 2013, selon une étude du FMI lui-même,

ramener le déficit de la France à l’objectif de 3% du PIB affiché

par le gouvernement créera automatiquement 300 000

chômeurs de plus. La réduction des recettes fiscales qui en

résultera rendra encore plus difficile la réduction des déficits,

que l'austérité était censée favoriser, « justifiant » ainsi un

nouveau tour de vis, etc.

Économiquement stupide, ce Pacte budgétaire est socialement

insupportable car les « programmes d’ajustement structurel »

aujourd’hui imposés à la Grèce et aux autres pays en difficulté

réduisent les protections, accroissent les inégalités et touchent

le plus durement les populations les plus précaires - femmes,

jeunes, ouvriers, immigré-es. Loin d’éviter aux pays du Nord de

l’Europe de subir le sort de ceux du Sud, ce Pacte entraîne

toute l’Union dans une spirale dépressive qui risque de

généraliser la pauvreté. Ce serait un recul sans précédent

depuis la Seconde Guerre mondiale.

Enfin, ce Pacte budgétaire représente un déni démocratique.

Non seulement il prévoit des sanctions quasi automatiques en

cas de non-respect, mais il marginalise les Parlements

nationaux et européen, et fait de la Commission et de la Cour

européenne de justice, organismes non élus, les juges des

budgets nationaux. Il installe un fédéralisme autoritaire niant la

souveraineté populaire. Il place l’économie en pilotage

automatique, soumise à des normes destinées à rassurer des

marchés financiers dont la puissance n’est pas remise en cause.

Nous ne l’acceptons pas.

Les crises sociale, écologique et financière mondiales

s’aggravent. Elles sont lourdes de dangers comme le montre le

renforcement des extrêmes droites xénophobes et

nationalistes. Ces crises nécessitent une mobilisation de

l’Europe, mais d’une Europe fondée sur la solidarité et la

démocratie, d’une Europe qui se dégage de l’emprise des

marchés financiers. Or le Pacte budgétaire va au contraire

renforcer les contradictions internes à la zone euro et pourrait

mener à son éclatement. Le refus de la France de ratifier ce

traité serait un signal fort envoyé aux autres peuples

européens afin d’ouvrir le débat sur la construction d’une autre

Europe.

C’est pourquoi, nous, les organisations signataires de ce texte

refusons ce Pacte budgétaire qui engage l’avenir. Nous

demandons qu’un large débat démocratique ait lieu afin que

les citoyen-es puissent s’emparer de ce sujet décisif et se

prononcer à son propos. Nous voulons mettre le Président de

la République, son gouvernement, les parlementaires devant

leurs responsabilités.

Pour créer ce débat démocratique, nous appelons à renforcer

les collectifs locaux déjà existants - notamment ceux pour

l’audit citoyen de la dette publique -, à en créer de nouveaux

le cas échéant ; nous organiserons ensemble une série de

débats publics dans toute la France ; nous nous adresserons

et inviterons les citoyens à s'adresser à chaque député et

sénateur de la majorité parlementaire, et nous organiserons

des manifestations dont une grande manifestation unitaire à

Paris le dimanche 30 septembre. Un comité d’organisation se

met immédiatement en place pour assurer le succès de ces

initiatives.

Premiers signataires (1) :

Aitec-IPAM, AC !, ANECR, Attac, CADTM, Cedetim-IPAM, CDDSP, CNDF, Les Économistes Atterrés, Fondation Copernic, Front de gauche : Parti communiste français - Parti de gauche - Gauche unitaire - FASE - République et Socialisme - PCOF - Convergence et Alternative,

Gauche anticapitaliste, Les Alternatifs, Marches Européennes, NPA, Résistance Sociale,

Solidaires, Sud BPCE.

(1) Toutes les organisations syndicales, associatives et politiques progressistes qui le souhaitent peuvent rejoindre les premiers

signataires. Pour en savoir plus : www.audit-citoyen.org ou contact@audit-citoyen.org.

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6 mars 2012 2 06 /03 /mars /2012 11:20

bastille

 

Tous les citoyen-nes, qui veulent "prendre le pouvoir" sont invité-e-s à participer à l'ouverture de la campagne présidentielle du candidat du Front de Gauche, Jean-Luc Melenchon :

CommunecannonDimanche 18 mars 2012 à 14h à PARIS, départ Place de la Nation en direction de la Bastille.

Cette marche sera émaillée d'animations musicales et théâtrales, de discours politiques.

Sortons nos instruments de musique, nos pancartes, banderoles, tenues de travail pour montrer notre diversité, ON N'EST PAS LES PLUS RICHES MAIS ON A PLEIN D'IDEES !

A noter que cette date est symbolique car la marche des Communards vers la Bastille a débuté le 18 mars 1871.

 

 

I

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6 mars 2012 2 06 /03 /mars /2012 09:43

fg2012 8mars

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26 février 2012 7 26 /02 /février /2012 22:59
LE SYSTEME LIBERAL MARCHE SUR LA TETE !
LES DROITES FRANÇAISE ET ALLEMANDE TENTENT D'IMPOSER UNE REGRESSION SANS PRECEDENT AUX PEUPLES D'EUROPE.
LES PEUPLES SONT SOUMIS AU CHANTAGE ET LA DEMOCRATIE EST EN DANGER !
manifestation grec 1
Basta, on y va !
Combien étaient-ils à Barcelone ? Des centaines de milliers. Et cette même scène s'est reproduite à Madrid, Valence, Alicante, Saragosse et dans des dizaines d'autres villes d'Espagne.
Ils disent NON à la réforme du travail, concocté par le gouvernement de droite pour "rassurer Bruxelles et les marchés financiers", qui accorde des facilités supplémentaires aux entreprises pour licencier et prévoit une diminution drastique des allocations de chômage alors même que l'Espagne détient le plus fort taux de chômage de l'UE.
Mais ces manifestations ne sont qu'un avant goût de la :
 
Grande journée internationale de refus de l'austérité :
 
Mercredi 29 février.

A Mulhouse le rendez-vous est fixé
à 16h 00 place de la Bourse

 
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